1959-005

Titre : ‘’Adam et Ève ou la bête de science ne serait-elle pas la bête d’amour.’’

Dimension : 20,5 cm. X 26,5 cm.

Matériaux : Dessin au plomb sur papier mat.

Catégorie : Conceptogramme.

Notes : (Les cils inférieurs de l’œil gauche (à droite) de la fille ont été creusés dans
le papier par la gaine du bois da la mine de plomb.)

Commentaire et/ou explication :
Réflexion sur Adam et Ève et le serpent où m’apparaît l’histoire de l’amour et du serpent qui l’entourait comme un cœur.
Je ne sais rien de ces choses là de l’amour, ni des serpents mais je sens bien que je pourrais être cette fille et que l’homme me plaisait et le serpent serait mon ami ET le sien.
Je ne connais rien des serpents, mais il n’y a pas à se tromper : il l’entoure comme un cœur.
Pose tout le problème de l’intelligence pénétrante comme un état particulier de l’aptitude à comprendre (‘’intelliger’’).
Cette aptitude n’atteindrait jamais à une acuité aussi élevée que lorsque les forces énergétiques de la conscience sont catalysées par l’amour.
La notion de ‘’faute’’ que l’histoire (de même que l’école tente de m’enseigner, ces comptes rendus directivo- critique de la réalité), a généralement rattachée à certains actes de cet homme et cette femme ne sont, bien sûr qu’une autre expression de tabous qui tendent a limiter l’épanouissement de la conscience humaine.

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