1959-010
Titre : ‘’Danse’’
Dimension : 28 cm. X 45 cm.
Matériaux : Huile sur toile.
Catégorie : Témoignage existentiel.
Note : Non
Commentaire et/ou explication :
‘’L’oracle du tremblement intérieur ou la Samba’’
Sentir ou percevoir…
sont les moyens dont nous disposons comme mammifères humains pour apprécier le sens et la consistance de notre vie.
Identifier, définir, organiser et affiner nos perceptions apparaît être l’une des premières tâches à laquelle doit s’attacher tout enfant de la race.
Identifiant que de toutes les musiques qui sollicitaient alors mes oreilles certaines me touchaient plus profondément… (comme une vibration en dedans du corps, un frisson dans la cage thoracique, une réponse évidente du plexus solaire), je voulus définir davantage cette sorte de musique qui me touchait tant sans que pour autant il ne s’agisse d’un lien sentimental connu mais bien d’une espèce nouvelle de lien physique avec une sorte de bruit particulier.
C’est dans cette démarche de définition que je retraçais peu à peu ceux des instruments que j’avais vus et entendus à ce jour et qu’ils semblaient utilisés pour produire l’ensorcellement. La musique des indiens de nos régions atteignait à ce charme mais elle était difficile d’accès pour moi. C’est enfin dans le rythme sud-américain de la Samba que je retrouvai la plus grande accessibilité dans mon environnement de l’époque à cet aspect de l’envoûtement du rythme que je découvrais. C’est avec la flûte péruvienne que je devais un peu plus tard identifier la vibration du son.
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Dimension : 28 cm. X 45 cm.
Matériaux : Huile sur toile.
Catégorie : Témoignage existentiel.
Note : Non
Commentaire et/ou explication :
‘’L’oracle du tremblement intérieur ou la Samba’’
Sentir ou percevoir…
sont les moyens dont nous disposons comme mammifères humains pour apprécier le sens et la consistance de notre vie.
Identifier, définir, organiser et affiner nos perceptions apparaît être l’une des premières tâches à laquelle doit s’attacher tout enfant de la race.
Identifiant que de toutes les musiques qui sollicitaient alors mes oreilles certaines me touchaient plus profondément… (comme une vibration en dedans du corps, un frisson dans la cage thoracique, une réponse évidente du plexus solaire), je voulus définir davantage cette sorte de musique qui me touchait tant sans que pour autant il ne s’agisse d’un lien sentimental connu mais bien d’une espèce nouvelle de lien physique avec une sorte de bruit particulier.
C’est dans cette démarche de définition que je retraçais peu à peu ceux des instruments que j’avais vus et entendus à ce jour et qu’ils semblaient utilisés pour produire l’ensorcellement. La musique des indiens de nos régions atteignait à ce charme mais elle était difficile d’accès pour moi. C’est enfin dans le rythme sud-américain de la Samba que je retrouvai la plus grande accessibilité dans mon environnement de l’époque à cet aspect de l’envoûtement du rythme que je découvrais. C’est avec la flûte péruvienne que je devais un peu plus tard identifier la vibration du son.
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